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Pourquoi les gouttes d'eau qui constituent la pluie acide ne sont que matière physique ? Ne seraient-elle pas des esprits, prêts à tout et n'importe quoi pour nous anéhantir ? De nombreuses interrogations qui torturaient l'insane mind de Monsieur Apollon Deawn Squirdush. Qui ? Apollon, vous dis-je ! Oh, vous devez sûrement le connaître. Une réputation ancrée dure comme fer, un élément infaillible, que l'on ne peut oublier facilement. Des millions de mots assassins. Oui, ce garçon au prénom de dieu grec ( si vous ne l'aviez pas remarqué ) représente la facette de votre chère personnalité que vous avez toujours désiré etouffer à jamais. Cette part du cerveau meurtrière, devastatrice. Non, le jeune homme n'utilise pas - ou presque pas - la violence envers les individus mais les paroles envenimées et remplies de dureté. Pourtant, Apollon n'a pas toujours été un garçon craintif.

« Apollon, arrête de rêvasser et mange, je te prie ! »
« Mère, savez-vous qu'un apport excessif de protéines dans notre corps peut ammener au déréglement de celui-çi ? Désirez-vous mon décès ? Je suis du moins interpellé par votre remarque ! »
« Bon allez, mange, veux-tu. Et puis à quatorze ans, on est pas censés parler comme un Duc de je sais pas où ! Ah, voilà Eden ! Pourquoi te caches-tu sous la table, Dreawn ?! »
« Chut, si elle demande, je ne suis pas là ! »

« Eden ! Bonjour, que me vaut le plaisir de cette visite innatendue ? Je te croyais en voyage en France ! »
« Eh bien, vous n'avez pas tout à fait tort Madame, je viens de rentrer ce matin ! Ma - gni - fique. Les magasins sont terribles, et je ne vous parle même pas des beaux Parisiens ! »
« Oh non, surtout que mon mari n'est pas très loin. »

Rires de bécasses. Eden Westburry, une jeune écossaise qui vit près de l'habitation d'Apollon. Ils se connaissent depuis l'âge de huit ans, et même si leurs rapports ne sont pas toujours simples, ils se considèrent comme étant amis. Et pourtant, Eden hait carrément le brun. Jalouse sûrement des conversations qu'il peut entretenir avec d'autres filles, elle ne lui mène pas la vie facile, bien au contraire ! Les railleries et moqueries à son égard ne manquent pas, et de nombreuses claques sont à son actif. Ils appartiennaient à la même école mais Eden se comportait comme une biatch du coin. Et encore aujourd'hui, la demoiselle perdure à filmer ou enregistrer Dreawn dans la vie de tous les jours, durant les bons et mauvais moments. Elle réussit même une fois à déverouiller la porte des toilettes et choper le gars en pleine action aléatoire. La honte.

C'est en partie à cause d'Eden que le jeune garçon de dix-neuf ans maintenant s'écarte du reste du monde et devient de plus en plus vulgaire. Son boulot de disc-jockey l'aide encore à communiquer avec les autres, et cela rend Eden encore plus jalouse de lui. Il faudrait cependant savoir ; L'aime-t-elle ou éprouve-t-elle de la rancoeur à son égard ? Aura-t-il la réponse un jour ? Encore des questions sans lumière. Cela fait cependant cinq ans que Dreawn a déménagé, est parti d'Ecosse, pour une nouvelle vie. Oui, un départ en compagnie de sa mère, tout récemment divorcée. Exténuée des envies perverses de son mari, elle décida de s'enfuir en attendant la décision du tribunal. Apollon fut d'ailleurs obligé de la suivre, réveillant chez lui un sentiment de haine contre sa mère. Eden quitta aussi l'Ecosse pour le rejoindre il y a quelques mois. Surprise. Pourquoi changeait-elle soudainement d'avis ? Des sentiments étaient-ils nés dans le petit coeur de notre princesse ? Mais arrêtons avec ces questions, surtout qu'Apollon n'est pas encore au courant de son arrivée.

Apollon mène depuis une vie des plus simples. C'est juste la garçon le plus chiant et critique de la ville, ne s'inclinant pas devant les insultes de ses contemporains. Tout le monde est jaloux de son physique de rêve, de son charme tueur, et de sa fougue.

« C'est vraiment dommage que l'on se détèste, Eden. »
« Chacun ses goûts, c'est comme la bouffe, mon p'tiot. Et puis, éteins-moi cette clope, l'odeur m'écoeure. »
« Personnellement, c'est ton caractère de merde qui m'ecoeure mais ne nous attardons point sur cela. Je disais donc - avant une interruption subite - que tu devrais t'attacher à moi au lieu de me filmer sans cesse. Le bouton rouge m'exaspère. »
« Personnellement, c'est ton caractère de double merde qui m'exaspère mais ne nous attardons point sur cela. Si je te filme, c'est pour te foute la honte, coco. Tu blesses les autres, et je ne fais que rendre la monnaie de ta pièce. »
« Ca ne serait pas une manière de ne pas me quitter, ou de garder des souvenirs de moi ? Allez, avoue princesse. »
« Tu délires, Apollon. Et arrête moi cette clope, putain ! »
« Et toi ta caméra ! »

BEHIND BLUE EYES :
votre pseudo : clide.
âge : dix-huit ans.
présence sur le jour : 5/7
comment vous avez débarqué chez nous ? parce que les petits pois sont verts.
et sinon, ça vous plait ? beuh oui. è_é
code du règlement : là où j'irai, tu iras.
un mot stupide à dire ? russe.
ON VOUS AIME DÉJÀ.